Vingt-huit faits dont je suis fière

Il y a quelques jours, j’ai soufflé mes vingt-huit bougies. Encore deux ans et j’aurai atteint la trentaine… Outch ! Ça ne me fait pas tellement plaisir, croyez-moi. Mais j’essaie de rester positive malgré tout. Alors pour l’occasion, je vous ai concocté un petit topo de vingt-huit choses qui me rendent fière de qui je suis aujourd’hui. Continue reading

Je ne suis pas aventurière

Récemment, j’ai débuté un nouvel emploi. Et dans le cadre de ce nouvel emploi, je dois suivre une formation de plusieurs semaines à l’extérieur de mon port d’attache, c’est-à-dire, à Montréal. Me voici donc dans cette grande ville que je ne connais pas très bien. Seule. Et je me rends compte que je ne suis pas aventurière.

Mon port d’attache étant situé à Sherbrooke, il n’est pas convenu que je voyage plusieurs semaines durant. Mon employeur m’a donc payé une chambre d’hôtel pour ce laps de temps. C’est ainsi, qu’un dimanche soir, tard, j’étais en route, assise sur un siège d’autobus absolument inconfortable, pour me rendre dans cette [belle] ville. Et plus le voyage avançait, plus certaines appréhensions popait dans ma tête. Continue reading

Se jeter dans le vide

Ces dernières semaines, je suis prise avec un très grand dilemme. Dois-je accepter ce poste de TRP/masso, dans une autre ville, ou pas ?

Pourquoi regardai-je pour un emploi dans une autre ville ? Parce que dans la mienne, il n’y a pas de demandes. Alors si je veux pouvoir travailler dans mon domaine bientôt (ça fait quand même déjà deux ans que j’ai gradué), je dois aller à l’extérieur. Je travaille déjà à une heure de route de chez moi à temps Continue reading

Travailler pour vivre, ou vivre pour travailler ?

J’ai un aveu à vous faire. Je n’ai jamais été très travaillante. Oui, depuis que j’ai 16 ans, j’ai un emploi et je dois payer mes petites dépenses. Mais je n’ai jamais eu à payer mes études ou ma voiture. J’ai la chance d’avoir des parents qui veulent m’éviter de m’endetter durant mes études.

De ce fait, je n’ai jamais eu besoin de travailler énormément. Je n’avais pas à travailler tous les jeudis et vendredis soirs en plus des samedis et dimanches. Comme la plupart des emplois à temps partiel le demande. Je ne l’ai pas fait souvent, cet horaire. Au Cegep, je travaillais comme cosméticienne dans une pharmacie. Je travaillais les vendredis soirs, ainsi qu’une fin de semaine sur quatre. Une fin de semaine sur deux en février-mars, deux années durant. Et je me souviens que j’avais toujours énormément de Continue reading